Un vieux pauvre, à barbe blanche, no us demanda l'aumône. Mon camarade Joseph Davranche lui donna cent sous. Je fus surpris. Il me dit : « Ce misérable m'a rapp
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loshan21
Question
Un vieux pauvre, à barbe blanche, no
us demanda l'aumône. Mon camarade
Joseph Davranche lui donna cent sous. Je fus surpris. Il me dit :
« Ce misérable m'a rappelé une histoire que je vais te dire et dont le
souvenir me poursuit sans cesse. La voici. »
Ma famille, originaire du Havre, n'étai
t pas riche. On s'en tirait, voilà tout.
Le père travaillait, rentrait tard du bureau et ne gagnait pas grand-chose.
J'avais deux sœurs.
Ma mère souffrait beaucoup de la gêne où nous vivions.
C'est pour mon francais je voudrai que vous inventez la suite de cet histoire( bien sur il faut pas recopier la vraie histoire), environ une page. Svp
us demanda l'aumône. Mon camarade
Joseph Davranche lui donna cent sous. Je fus surpris. Il me dit :
« Ce misérable m'a rappelé une histoire que je vais te dire et dont le
souvenir me poursuit sans cesse. La voici. »
Ma famille, originaire du Havre, n'étai
t pas riche. On s'en tirait, voilà tout.
Le père travaillait, rentrait tard du bureau et ne gagnait pas grand-chose.
J'avais deux sœurs.
Ma mère souffrait beaucoup de la gêne où nous vivions.
C'est pour mon francais je voudrai que vous inventez la suite de cet histoire( bien sur il faut pas recopier la vraie histoire), environ une page. Svp
1 Réponse
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1. Réponse FreeThinker
Ils étaient obligé de mendier dans la rue. Quand un riche bourgeois au grand coeur leur donna suffisamment d'argent pour se vêtir correctement, et se payer des études. Depuis, grâce à leurs études, ils trouvèrent un métier passionnant, rapportant beaucoup et ils vécurent heureux dans la bonté et la générosité...